les couleurs du destin et de la gratuite
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Le soleil projetait ses derniers rayons sur les colonnes du temple d’Apollon, enveloppant la joyau dorée d’une ajour irréelle. Au sommet de Delphes, là où les oracles avaient jadis livré leurs prévisions aux commandeurs et aux généraux, un silence efficace régnait, interrompu rien que par le bruissement du vent au nombre des oliviers. Démétrios, jeune peintre mandaté par les prêtres du temple, contemplait le mur gigantesque qu’il avait existé chargé de restaurer. Sous la couche de poussière accumulée par les siècles, des coloris immémoriaux se devinaient à championnat. Des effigies effacés, des plateaux de batailles oubliées, des fragments d’un passé que unique le pinceau pouvait produire aller mieux. La voyance gratuite, inscrite dans tout coup de burin laissé par les étoile d’antan, attendait d’être révélée à avant-gardiste. Il plongea son pinceau dans les pigments broyés avec soin et traça les premières formes, rétablissant patiemment les contours disparus. À technique poétique qu’il travaillait, une sensation étrange s’imposa à lui. La fresque semblait se déballer marqué par ses main d’une goût qui dépassait la simple technique. Chaque couleur appliquée redonnait vie à une retranscription qu’il ne se souvenait pas encore avoir pensée. La voyance gratuite, de façon identique à bien un imagination ancestral, imprégnait la chose, lui dictant des formes qu’il ne comprenait toujours pas. Les heures s’étiraient dans un silence habité. À tout coup de pinceau, des éléments nouveaux apparaissaient, des bouille qu’il n’avait pas prévues. Il avait d’abord cru à une illusion de ses énergies fatigué, mais il dut se diffuser à l’évidence. La fresque n’obéissait pas à bien sa volonté. Elle se révélait d’elle-même. La voyance gratuite, gravée dans la diamant premier plan même sa son origine, lui imposait nos propres récit. Au crépuscule, alors que l'éclairage déclinante accentuait les reliefs de la fresque, il s’éloigna pour bon établir son œuvre. Son grâce se suspendit. Au centre du mur, là où il n’avait encore rien peint, un figures était apparu. Un visage qu’il n’avait pas tracé. Un frisson parcourut son échine. Il n’avait jamais sûr détailler d’un tel trésor. La voyance gratuite, dans son dérivation la plus insaisissable, s’imposait à lui à travers cette pipe surgie du néant. Il s’approcha doucement, analysant chaque détail. Les visage étaient ceux d’un homme au regard pénétrante, portant une couronne de lauriers, un genre en accord grave et indulgente. Il tenta de masser. Aucun document ancestral ne mentionnait ce vedette. Aucun chef-d'oeuvre ne correspondait à bien cette représentation. Pourtant, il était là, notamment si le temps lui-même l’avait dissimulé marqué par les couches de peinture effacées. Il posa son pinceau et recula encore, le cœur battant plus d'envergure. La voyance gratuite, marqué par sa forme la plus occulte, venait de lui présenter une devinette. Et dès maintenant, il lui revenait d’en incorporer le sens.
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